Si un soldat tué par un obus en 1914 se réveillait. Que penserait-il de la manière dont on se souvient de cet événement que lui seul à vécu ? Si quelque part aujourd'hui, un soldat tué par un obus en 1914 se réveillait. S'il regardait les statues que plus personne, parmi nous, ne voit. S'il observait les défilés, s'il peuplait les musées, les bibliothèques, à la recherche de ce qu'on dit de la Grande Guerre, aujourd'hui. Que penserait-il de la manière dont on se souvient de cet événement que lui seul à vécu ?
Si un soldat tué par un obus en 1914 se réveillait. Que penserait-il de la manière dont on se souvient de cet événement que lui seul à vécu ?
Si quelque part aujourd'hui, un soldat tué par un obus en 1914 se réveillait. S'il regardait les statues que plus personne, parmi nous, ne voit. S'il observait les défilés, s'il peuplait les musées, les bibliothèques, à la recherche de ce qu'on dit de la Grande Guerre, aujourd'hui. Que penserait-il de la manière dont on se souvient de cet événement que lui seul à vécu ?