Chronique de « L’Éléphant blanc », un gigantesque hôtel colonial de Beira au Mozambique. En accord avec l’organisation complexe des lieux et l’imbrication des strates temporelles et des destins, c’est plus en spirale qu’en une approche trop rectiligne que Lotte Stoops aborde « L’Éléphant blanc », un gigantesque hôtel colonial de Beira au Mozambique. Les escaliers hollywoodiens, les multiples discothèques, salles de jeu et de cinéma de jadis ont fait place à une fourmilière humaine au sein de laquelle vivent – survivent – plus de 2 500 personnes. (Compétition Premières Œuvres)
Chronique de « L’Éléphant blanc », un gigantesque hôtel colonial de Beira au Mozambique.
En accord avec l’organisation complexe des lieux et l’imbrication des strates temporelles et des destins, c’est plus en spirale qu’en une approche trop rectiligne que Lotte Stoops aborde « L’Éléphant blanc », un gigantesque hôtel colonial de Beira au Mozambique. Les escaliers hollywoodiens, les multiples discothèques, salles de jeu et de cinéma de jadis ont fait place à une fourmilière humaine au sein de laquelle vivent – survivent – plus de 2 500 personnes. (Compétition Premières Œuvres)
Director
Lotte Stoops