Documentaire poétique sur trois enfants mineurs non accompagnés en provenance d’Afghanistan, de Syrie et de Guinée, qui espèrent un avenir stable en Europe. « The art of becoming » est un documentaire poétique sur trois enfants mineurs non accompagnés en provenance d’Afghanistan, de Syrie et de Guinée, qui espèrent un avenir stable en Europe. Leurs histoires sont intimement liées : Fattah travaille à Istanbul, dans l’espoir d’économiser assez d’argent pour le voyage en Grèce, puis en Italie. Saleh a vécu en Europe pendant trois ans, mais aspire à revoir ses parents. Mamadou s’accroche à son travail et ses études en Belgique, en dépit d’être devenu un sans-papiers. À travers leurs récits, l’ensemble du cycle de la migration est décrit, en partant de projections irréalistes sur l’Europe jusqu’à la vie spécifique dans un centre de réfugiés en passant par la lutte acharnée pour éviter l’expulsion. Le film est construit à partir de la trajectoire des personnages. Il oriente clairement les entretiens, mais opte radicalement vers une représentation artistique de la réalité de chacun des garçons à travers des prises de vue à la frontière du film de fiction. Cela donne un portrait des protagonistes intime, sans jugement.
Documentaire, Cinéma indépendant
1h
tous publics
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Documentaire poétique sur trois enfants mineurs non accompagnés en provenance d’Afghanistan, de Syrie et de Guinée, qui espèrent un avenir stable en Europe.
« The art of becoming » est un documentaire poétique sur trois enfants mineurs non accompagnés en provenance d’Afghanistan, de Syrie et de Guinée, qui espèrent un avenir stable en Europe. Leurs histoires sont intimement liées : Fattah travaille à Istanbul, dans l’espoir d’économiser assez d’argent pour le voyage en Grèce, puis en Italie. Saleh a vécu en Europe pendant trois ans, mais aspire à revoir ses parents. Mamadou s’accroche à son travail et ses études en Belgique, en dépit d’être devenu un sans-papiers. À travers leurs récits, l’ensemble du cycle de la migration est décrit, en partant de projections irréalistes sur l’Europe jusqu’à la vie spécifique dans un centre de réfugiés en passant par la lutte acharnée pour éviter l’expulsion. Le film est construit à partir de la trajectoire des personnages. Il oriente clairement les entretiens, mais opte radicalement vers une représentation artistique de la réalité de chacun des garçons à travers des prises de vue à la frontière du film de fiction. Cela donne un portrait des protagonistes intime, sans jugement.